L'Homme a inventé une sexualité originale et, depuis que le monde est monde, il l'a faite évoluer sans cesse. Inventons tout simplement ici notre suite à nous, gay, bi, hétéro, si possible sortons des formatages imposés. Considérons ce site comme une maison à nous où on peut tout (se) dire, et surtout crier ensemble notre joie d'être gay. 

Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 22:33

 

 

MON DOUX VIOLEUR  2

il vous paraîtra naturel que Max, marié et papa, qui avait pris autant de plaisir à me "violer" revinsse  de temps à autre et à l'improviste pour renouveler ses  exploits à ma plus grande joie. Dîner  sur le pouce ensemble, nous mettre au lit avant ou après ou les deux était devenu une habitude. Nous avions  tous deux des besoins immenses à satisfaire que ce soit sexuels ou affectifs. -"Tu vois, me disait-il, on a trois enfants, bien sûr, mais on a droit à se porter de l'affection, à part les "mon chéri, et les mon coeur" de pure forme. Ma femme a commencé un jour à m'appeler P'pa au lieu de Maxou comme elle en avait l'habitude"

Aussi j'ajoutai à mon rôle passif et comblé d'honneurs celui de compenser ces manques et il me fut facile de lui dire à mon tour Maxou ou bien Mon chéri, mon lapin, mon loup. Jamais il ne protestait. Ca lui convenait.

Un jour, en faisant l'amour, je lui montrai notre image de profil dans le miroir de la chambre. Il allait et venait en moi allègrement et je m'ouvrais à lui autant que je pouvais. Nos visages étaient rouges et ruisselants, mais heureux et rayonnants. Il attendit d'être moins essoufflé pour me confier:

"tu sais qu'elle éteint la lumière chaque fois qu'on baise ? Tu sais qu'elle détourne le regard pour ne pas me voir nu et bandé ?"

J'avais vu sa femme en photo et sans en éprouver la moindre jalousie j'avais été fier de partager Maxou avec une aussi belle personne. Maintenant je pouvais sentir combien je comptais pour lui et quels manques je pouvais tenter de compenser. Je vous ai confié que je n'avais jamais pensé me mettre en couple.

Héhé, avec Max je me serais sans doute décidé. Mais Max, c'était l'évidence même, n'avait pas l'intention d'abandonner ses enfants.  Alors qu'il me rendait visite de temps en temps, avec ce génie sensuel qui était le sien, mes besoins juvéniles me portaient à reprendre mes amours "plurielles" et mes rencontres hasardeuses, il faut bie le dire peu satisfaisantes pour la plupart.  Max, lui, me laissait pantelant...comme ayant subi les derniers outrages, mais réellement comblé de baisers, de succions, de caresses envoûtantes et profondes qui annihilaient ma volonté. Heureusement , il n'exigeait pas après m'avoir génialement préparé, de m'introduire un gode énorme ou autre : je suis sûr que je l'aurais pris pour lui plaire ! Non, seul son magnifique sexe se présentait sainement à mes orifices pleins d'appétit.

Je me demandais souvent : "mais qu'est-ce qu'un hétéro comme lui vient faire avec un homo 100% comme moi ?"

"il doit faire jouir sa femme comme une folle, bien foutu, bien monté, endurant comme il est ! " Les bisex seront toujours un mystère pour moi : à mon avis ils ne sont vraiment bien avec aucun des deux sexes !" " et forcément jamais à l'aise ". Moi cette dualité ne pouvait me gêner, mais j'ai eu un ami qui n'a pas pu supporter sans esclandre le mariage de son amant et il a pété les plombs en présence du couple. Je pense que ce Fred ( c'est son nom) est, avant d'être jaloux, foncièrement honnête.

Je n'ai tout de même pas apprécié le scandale et le risque de rupture du couple qu'il a provoqués.

Bref, je me disais aussi (mais c'était un manque de clairvoyance ) : "pourquoi est-ce qu'il reste avec sa femme ?" Question qui ne pouvait se poser. Une nuit il allait me pénétrer et moi, cuisses ouvertes, anus offert, je me préparais à l'extase. Certains partenaires m'ont souvent dissuadé de ce geste qui m'est naturel de saisir leur membre et le guider vers la pénétration. Cette nuit-là, donc, j'avais, oh bonheur l'énorme chibre de max en main. Il s'arrête et me dit : "tu sais que pour moi ce geste est très important ? il signifie  que tu me veux en toi.  Ma femme, que j'ai pénétrée plus de dix mille fois n'a jamais eu ce geste" "Qu'est-ce que tu en penses ?" 

A cette seconde je percevais la détresse de mon ami, alors que nous étions au seuil d'un bonheur habituel"

Cette pensée l'avait tellement troublé qu'il lui fallut se reprendre. Je ne crois pas qu'il attendait une réponse. Je lui  pris la tête à deux mains par le cou et  lui donnai force baisers mouillés. Son sexe se tendit à nouveau et il me pénétra avec force, presque à me faire mal. Cette fausse violence c'était sa signature : c'est bien ainsi qu'il avait commencé avec moi ! Une autre fois je le suçais avec le plaisir qu'on peut éprouver à faire du bien à un véritable ami. Son sexe, sans être géant, a une taille impressionnante. Il a une enveloppe lisse et satinée, brillante et comme gonflée de graisse et pas de veines saillantes. Pourtant, hihi, je peux vous dire que c'est tout du muscle. Oui je sais par quel miracle physiologique il devient si dur et je peux vous dire que quand il vous fait mal, il vous fait du bien, comprenne qui peut. Cette compression forcée des muscles de l'anus cela me fait, à moi, un effet qui m'envoie au ciel tout en maintenant toute ma sensualité, mes perceptions au niveau de mon anneau qui l'accueille. Ce jour là il me baisait la bouche avec ardeur, fureur presque. Comme j'ai une grande amitié pour lui je ne dis rien quand c'est comme ça. Naturellement, sans tenir compte de mes capacités réelles il veut pousser son gland, hâlé et aguerri par la baise,  jusqu'à mon estomac. Tendre violence encore. Il me couvre de caresses et de baisers après et, la fellation pour lui n'étant faite que pour se galvaniser encore davantage, il ne se laisse pas aller à jouir dans ma bouche et ainsi laisser mon cul frustré. Car, je le dis toujours, c'est par là que j'ai la chance de jouir.  Je sentais qu'il avait encore quelque chose à me dire après ce coït. Allongé, sexe humide entre les cuisses, épuisé par la satisfaction totale, il me prend la main, caresse mes lèvres et me dit : " tu te rends compte que ma femme ne m'a jamais sucé ?"  Je le caresse,  je  reprends en bouche sa verge flaccide  et repue, son écoulement âcre, envahit ma bouche. " Je vais pas rebander, c'est que tu en veux encore ?" Je ne veux pas lui dire directement que je veux le consoler de sa frustration conjugale. Moi aussi je suis repu et immensément satisfaite temps en temps il ravive nos mémoires en me demandant : "Tu fantasmes toujours sur "vivre un vrai viol" ? Je lui réponds pour le narguer :" non merci ! j'ai déjà donné ! mais une vraie peur je ne l'ai jamais eue..."dis-je en riant.  

Croit-il que je lui suis "fidèle" ? je ne peux pas savoir. Cependant l'imprévisibilité de ses visites rend notre relation décousue et ne peut remplacer toutes mes amours plurielles, d'autant que certaines étaient suivies et...pleines d'intérêt  . Le sait-il ? souhaite-il ma fidélité ?  comment savoir ? je crois que je le ferais fuir si je le questionnais. Autant "l'inscrire"lui aussi  dans les relations plurielles. Et ça le laisse libre. Moi aussi, si ce n'était que je crains qu'il ne tombe un jour sur un mec en train de me fourrer dans le même lit que lui !  C'est ma nature exigeante et volage qui me pousse à ces infidélités.

Comment lui-même pouvait-il se donner autant de liberté vis à vis de sa femme et de sa famille, la question reste posée. Les réponses que j'apportais étaient peu satisfaisantes. Prétextait-il des repas d'affaires ? Je pensais que sa situation risquait de ne lui autoriser qu'une ou deux relations comme la mienne, pas davantage, sous peine de découcher tous les soirs !     

Finalement et parce que l'espacement de ses visites me laissait le temps d'y penser, je l'avais trouvé doux mon violeur, attentif en fait à mon plaisir. De ce point de vue, pas de reproche ; mais maintenant je lui trouvais des faiblesses. Il s'était rendu maître de moi en une soirée mémorable. Si j'avais vraiment résisté il n'est pas certain qu'il serait parvenu à me prendre. J'avais été sa victime consentante. Mais au-delà de cette réflexion je me disais que sa vaillance avait pour limite...sa femme. En huit ans il n'avait obtenu aucune entente sexuelle avec elle. Cela me confortait dans mon choix d'être gay. Et condamnait pour moi le mariage hétéro, sauf au seul plan de la procréation.

Trop tard pour Max pour faire un choix : s'il tourne homo il y aura de la casse. Et tôt ou tard, sans bouger il y aura aussi de la casse.

Le monde des gens heureux se rétrécissait pour moi. La bisexualité me semblait un choix de faux-cul, révoltant.Avoir des plans à la sauvette, pas être fiable pour personne, ne même pas savoir qui on est, ce qu'on est. Mentir à sa femme (sa famille) car le coming out en ces cas est difficile, voire impossible, et ne résout rien. En supposant qu'un consensus s'établisse - ce qui serait un bel exemple d'amour et d'abnégation - on a trop en tête cette idée qu'on "possède" son conjoint ou son partenaire et ça c'est bloquant. Oh que c'est bon mes amours libres et plurielles, sans s'attacher, et même souvent sans lendemain !  

Questionné avec précaution, Max reste évidemment évasif. Pour définir la bisexualité il dit seulement : "Tu vois mec, quand je baise une nana je suis hétéro, quand je te baise je suis homo". Rien de plus. C'est si simple de ne pas se poser de questions. Je le sens tout de même piqué au vif. Je lui dis :

-"moi je pourrais pas tu vois bien que je bande pas, je peux

que me faire baiser." - "ton problème Jérôme dit-il en ayant l'air de ricaner".

Cette discussion m'avait renvoyé aux sites que je connaissais et ceux que je pouvais découvrir sur la bisexualité à laquelle je ne pouvais, selon moi, accéder.

 Sur internet, un jeune homme, quasiment un éphèbe, Julien je crois, fait la pub de son site, et de la bisexualité. Il est en couple avec une jolie fille bisex aussi. J'ai tout compris : ils roulent chacun de leur côté. C'est sûr, là c'est idéal. Comment ils ont fait pour se trouver ? une annonce ? Ca ils ne le disent pas. Quel projet on peut avoir dans ce cas. Faire des gosses ?

Je finis mon surf par un site de g0ys qui refusent d'être classés homos même s'ils pratiquent le frottage à longueur de temps.

Pas la joie tout ça. Je chope le cafard et la migraine et pas de RV en vue ce soir. Je descends au bar.

Pas de connaissance en vue. Je m'ennuie ferme devant mon double whisky. Je songe déjà à remonter chez-moi. Un grand bel homme, cheveux longs,presque imberbe

.s'approche son verre à la main. -"je peux ? ".  D'un geste du menton et du regard j'acquiesce.

-"seul ce soir ? "

("ah, voilà un mec qui m'a déjà vu avec d'autres actifs ici même et il me drague pensé-je")

 Il accompagne sa question d'un geste explicite de masturbation. C'est grossier, mais la glace est rompue...

 Il est blond. Trop costaud. Pas mon genre du tout, du tout.

-"Moi c'est Julien. Toi c'est Jérôme je crois"

-"On se connaît ? " Maintenant je suis un peu sur mes gardes.

-"Max me parle de toi" ..."j'en sais long"

- " Rien à te dire. C'est Max qui t'envoie ? "

-" Non rien de ça. Une chose à te dire. Laisse tomber. Max est à moi"

-"Ok. tkt.  Il me dira ça tout seul à sa prochaine visite."

- "Nan. C'est toi qui va lui dire que c'est fini vous deux."

 Je me lève. Je veux pas d'histoire. Ce type a bu probablement.

Il me suit la démarche titubante. Je préfère aller à ma voiture qu'à mon appart pour ne pas lui montrer le chemin. Je démarre en trombe. Je ne suis pas suivi... J'arrête pour souffler et réfléchir après deux ou trois carrefours.

Max déchaînerait les passions ? Et moi, là dedans ? C'est bien la première fois que je vois des mecs se prendre comme pour se disputer une nana.

Rien faire. Attendre. Ne pas se montrer. Ne pas appeler  Max. Pourquoi faire ?  En tous cas voilà une preuve que je ne suis pas son seul partenaire. J'aime qu'il me baise, mais de là à péter les plombs comme ce Julien ?  Je ris tout seul dans la voiture : Julien en tient pour la bite de Max.    

 

Dix bons jours se passent. Max passe à l'improviste. Il tente d'ouvrir, la porte s'entrebaille retenue par la chaîne.

- "T'es tout seul ?" "...Attends je passe un pull et on descend boire quelque chose"

Ascenseur. Pelotage de Max qui me fera damner de désir.

Bar. Whisky. Deux. -"T'es venu seul ? " - " ????" -"Et Julien ?"

-"???"  - " Ecoute Max, je suis cool, mais un mec est venu me menacer ici même si je ne te laissais pas. Tout le monde sait que je suis pédé, mais  j'ai jamais d'histoires et là, Max, tu m'apportes des problèmes".

Max se démène : oui, il connaît Julien. Non, Julien ne me fera aucun mal. C'est un mec qu'il a rencontré au sauna. Je n'ai qu'à venir avec lui au sauna et je verrai. Oui il le baise, mais est ce que ça veut dire qu'il doit cesser avec moi ?

Jamais vu ça !  et il continue à me peloter en public. On est dans un coin, mais...

Et puis finalement, pourquoi pas ? mon désir est monté, sa queue doit être toute raide. On remonte chez-moi.

Aucun regret : c'est une soirée de dissuasion. Hihi. Max se surpasse. Je suis pâmé les deux tiers du temps. On baise comme des fous. C'est notre droit, non ?

Oui, mais moi je ne suis pas marié, je n'ai pas de partenaires jaloux, je ne vais pas au sauna...

Comment dire à max que c'est fini quand, jusqu'au plus profond de mes tripes, je le désire ardemment.

-"mais qu'est-ce que tu lui as dit de moi à ce Julien pour qu'il sache où me trouver ?"

-"Rien.Presque rien : je lui ai dit que tu es un fameux bon coup de passif, et comment ça s'est passé la première fois toi et moi"

- "tu as déclenché une crise de jalousie et moi je suis au milieu.

Et puis tu roules trop ici et là, je vais finir par choper quelque chose"

Dénégations de Max qui s'invite pour une prochaine soirée.

 

Un soir, je devrais dire ce soir là car il a été marquant, il neigeotait, les flocons piquaient le visage, activés par un vent  violent. J'étais pressé de retrouver la chaleur de mon appart.

Ascenseur, palier...la porte n'est pas verrouillée. Mon coeur s'habille de joie : c'est sûrement Max, c'est le seul à avoir mes clés. Comme il fait bon ici, je me dis on va se faire une bonne éclate. - "Max tu es là ? Salut ! "

La porte à peine refermée, je suis empoigné par des bras vigoureux. Trois hommes cagoulés dont un me fait face,  m'immobilisent sans ménagement. - " tu as été averti.Tu vas payer"

Tous mes vêtements volent. vous imaginez comment : je résiste, mais rien n'y fait. Ces hommes sont en cuir leur entrejambe est dégagée on voit leurs membres tendus ...

je crie :  - "Max arrête-les, arrête ça ! tu déconnes " car je suis persuadé que  c'est encore une farce de Max, 2e saison.

Les hommes observent maintenant le mutisme des gorilles au moment de se taper une femme blanches. Quelques petits cris de singe seraient plus rassurants que ce silence.

Si je voulais, au moins partiellement cacher ma nudité c'est raté : mes poignets sont liés au scotch aux barreaux de mon lit, mes bras en croix. Je suis au supplice, vraiment.

Sans défense, j'essaie encore la "persuasion" : -" Julien, je sais que tu es là, arrête tant qu'il est temps : je porterai plainte sinon !"  Personne ne répond.

Maintenant j'ai vraiment la trouille : il y en un qui fouille mes meubles fout tout parterre, retourne toutes mes poches. Ca y est ils ont mes papiers, mon portefeuille, ma carte bleue, et des billets que j'avais mis entre les draps de l'armoire.

Ils sont quasi à poil, ils bandent mais on dirait que c'est pas la "bagatelle" qui les motive.  La peur prend possession de tout mon être, je tremble et ça se voit. L'un d'eux prend un duvet de l'édredon dans la main gauche, et dans l'autre main tient un briquet. L'un d'eux maintient mes pieds. On les fixe aux pieds du lit avec une corde. Il approche la tête de mon visage. je vois son dur regard, de sa cagoule dépassent à peine ses lèvres et je vois ses dents. -"Tu préfères ça ou ça ?"  Je comprends : les chatouilles ou la torture. -"ni l'un ni l'autre, connard !" Mais c'est une diversion : un autre approche un dong (1) noir énorme et d'une longueur démesurée : trois fois la longueur de mon abdomen... -"c'est souple tu vois, ça va partout, ça fait du chemin : quand c'est au bout de ton gros intestin ça contourne et ça va chercher plus loin dans tes tripes. Ne crie surtout pas ou on te bourre la gueule avec ton boxer"

-"on veut juste le code de ta carte bleue, quand tu es au top du plaisir, tu nous le dis, c'est tout et n'attends pas de tomber dans le pommes, car tant que tu ne dis rien, nous on continue". Ma tête va de gauche à droite et de droite à gauche, s'appuyant sur mon cou, disant non et refusant tout en bloc.

-"Nous le gel on connaît pas. Putain, tu vas jouir, j'aimerais être à ta place." et il part d'un grand rire effroyable.

J'implore, je supplie, je pense à Maman, Papa, tous les saints du paradis...rien n'y fait.

-"Tu peux tout arrêter, dis le code c'est tout".

Qu'est-ce qui me pousse à résister? Il veulent du fric, donne-leur me dis-je...

Avant que je n'aie rien dit j'ai dix centimètres du dong dans mon rectum et j'ai la bouche ouverte et crispée par la douleur due à un engin gros et sec à l'évidence.

J'irai pas au bout et je crains une perforation de l'intestin. Je crie le code.

- "Ouais c'est noté" dit l'un en retirant le dong dont je sens la brûlure.  -"Attends, non, il a dû te dire un code faux". Le dong est remis pour ma grande tristesse.  Car si mon derrière est affamé de sexe(s) et même de dildos comme celui-ci ou approchants, aujourd'hui n'est pas jour de fête. Peut-être comme ce roi anglais Edouard ll (2)veulent-ils me faire périr par là où j'ai abondamment péché ?

- "Attends, je vais vérifier au distributeur à côté".

Hélas, le code est vrai. J'espère qu'ils vont arrêter quand ils auront l'argent.

L'un des deux restants contrefaisant une voix efféminée et me parlant comme à un pédé dont on se moque me dit : - " Peut-être que monsieur trouve le gode un peu rude, c'est vrai du reste, il est fait pour ! Peut-être que Monsieur aurait aimé un peu de gel...?"

Dire oui c'est accepter ce qu'ils me font. Je ne réponds pas malgré la douleur.

- "Tiens va", dit le même en crachant sur le dildo puis sur mon cul forcément ouvert.

Retour en force du dong qui fait moins mal mais la salive cuit dans mon rectum sûrement endommagé.

-" On attend, on attend mais il est long à revenir...aussi long que ce putain de démonte-cul.

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(2) Edouard II d'Angleterre aurait été tué par l'insertion dans son anus d'un tuyau creux permettant l’introduction d’un fer rougi au feu de façon à brûler les parties internes au-delà des intestins : sans traces,  sans marquer l'anus et le rectum. Cette mort était supposée être la fin méritée d'un homosexuel. 

 

Moi j'ai envie de m'amuser pendant ce temps. Pas toi Jérôme ?"

-"non merci"

-"pourquoi t'as pas aimé ?"

 

- "Tu vas voir quand tu l'auras à fond ! je vais te faire des va et viens. Hummmmmh "

Je sursaute car il approche ses lèvres des miennes. Du je lance ma tête en arrière, mais lui n'éloigne pas son visage et m'observe alors que je sens qu'il m'enfonce le sex toy plus profond.

Là se marque une étape, j'ai bien moins mal et un certain plaisir se fait une place en moi...mais j'en ai tout au plus 20cm!

Son acolyte, plus brutal encore, crache sur mon cul et pousse. Je hurle non pas de douleur, mais de peur. Je suis très inquiet. J'ai peur d'une déchirure interne, de l'hémorragie interne, de l'hôpital...la chirurgie ...A mon avis tout ça ne peut que très mal finir.

J'ai déjà été très malade et opéré à plusieurs reprises dans la région du coeur. Et d'ailleurs ils devraient remarquer mes cicatrices. Ces gens-là sont des brutes. Rien ne les arrête.

Si mes mains étaient libres, peut-être je n'arriverais pas à me dégager, mais je pourrais toucher l'engin, évaluer combien j'en ai dans le boyau.

Soudain : - "Ne bouge pas (????) j'aime ça moi aussi. Il se tourne, se plante l'autre extrémité dans l'anus et commence à bouger.

- "C'est le plus gourmand qui gagne, ok?"...Que répondre ? Le fait est que ce qu'il prend je ne l'ai pas et ça me soulage. Par contre plus il remue et plus les effets que je vous explique gagnent sur mes sens. Je me dis - "s tu ne te décrispes pas tu bas ressortir encore plus blessé. Je détends mon sphincter, je regarde le plafond, je ferme les yeux... Ah dormir, ou même tomber dans les pommes. Je fais semblant.

- "Putain mec ! regarde ça il décolle ! il adore !"

Et l'autre de dire,: - "ben regarde-moi je prends mon pied aussi !"

- "vous êtes deux salopes"

J'essaie de cesser de respirer pour leur faire peur. Mais le gentil revient avec la carte bleue : ouais les gars le code est bon.

- "Combien t'as pris ?"  - "300 euros. Ca marche"

- "Prenez le fric, libérez-moi svp....je vous en supplie..."

Le dong est sorti.

Le plus brutal dit : -"Tout ça c'est bien joli, mais on a dit qu'on allait s'éclater les gars et moi j'ai pas joui. Il me secoue : - " et toi t'as joui ?" il crie et on dirait qu'il pleure. Un fou, je pense.

- "On va t'enculer jusqu'à ce que tu saignes. Après tu pourras ni marcher ni t'asseoir! "

La peur de cette possible déchéance me serre encore les tripes.

Ah, cette fois c'est un vrai viol, pas mon fantasme. Comment s'accommoder de la situation ?

Avec Max j'avais pu en tirer un bon parti, mais là ce sont les douleurs de la guerre qui m'attendent.

Je dois essayer d'amadouer mes bourreaux. Ainsi attaché, comment faire ?

Je sors ma langue pour mimer que je sucerais volontiers. Le gentil veut me sauver, lui, il pousse un comparse : -"fais-toi sucer mec je suis sûr qu'il est doué" 

A deux genoux au dessus de ma bouche un vit énorme vient m'envahir jusqu'aux amygdales. Il me baise la bouche.

En même temps, des doigts titillent mon anus puis s'immiscent en lui, que faire ?

je suis lié au bord du lit cuisses ouvertes et jambes pendantes. Je suis leur jouet. Les doigts sont plus nombreux et réunis en faisceau. Je sens mouillé. Salive ou gel ? Oh, salaud il entre la main j'ai mal : je n'ai jamais été fisté.  

Heureusement ça s'arrête. Celui qui se faisait sucer veut me baiser l'anus. Je dis : -" mets une capote svp!" -- "Capote ? non ou alors préso sans gel au bout de 2 mn tu es en sang et on est trois ! tu veux ça ? "

Je ne peux rien répondre.

Je cherche l'évasion de ce cauchemar.

Je ferme les yeux je laisserai faire. Je m'efforce de penser que c'est un garçon que j'aime qui me fait l'amour sans violence.

 

Me suis-je réellement endormi ?  j'ai eu l'impression de revenir à moi. Je recevais plein de baisers, j'étais délié, couché sur le côté, j'étais pris par derrière, mais avec douceur je recevais des caresses à plus de deux mains... La lumière avait été éteinte  on était dans le noir, des lèvres douces cherchaient les miennes, je répondis à leur sollicitation car je pensais être mort et au paradis des pédés. L'instant d'avant j'y étais, je pense. Encore mon aptitude à l'évasion, à l'extase ?

Tout d'un coup tout s'arrête et se fait silence. Je me mets à plat. Je palpe autour pour chercher celui qui le dernier (?) était en train de me posséder.

Je me lève. Je touche mon derrière. Il est baveux. Je sens. C'est du sperme, aucun doute. M'essuyer. Laver. Désinfecter, vite.

J'essaie d'éclairer. Pas de courant.  

Je me déplace à tâtons en titubant. J'ai le vertige. Je touche le disjoncteur, j'appuie. Lumière. Il y a du bordel il faut enjamber des choses au sol. Mon David de Michel Ange, souvenir de voyage, a quitté sa niche dans le mur. Mon icone de dévotion, mon idéal masculin est sur la table basse. Il sert de presse-papiers il y a un papier dessous. Surprise, le socle cachait un billet  et...ma carte bleue.

Salut Jérôme. Putain tu nous as quittés à un moment, en plein rêve. Trop beau, on a envié le trip dans lequel tu étais plongé. Tu jouissais sans arrêt : tu as mouillé le lit et changer les draps ne sera pas un luxe. Aussi, tu as été vaillant. Chapeau. Mais cette fois tu as eu peur Juste ce qu'il fallait : tu as donné ton code, le vrai. Pour vérifier on a retiré 20euros et ils sont là avec ta carte, tu peux vérifier ton compte sur internet : il ne te manque rien. Tous les mecs qui t'ont baisé sont clean, résultats d'analyse à l'appui. Tu n'as pas pu voir leur gueule, mis ils sont super beaux...des fois qu'un bébé naisse   hihi !

Je reviendrai dans la matinée pour t'aider à ranger, mais rien n'a été cassé. Douche-toi, repose-toi.

Ca faisait juste un an qu'on s'est rencontrés. J'ai voulu marquer l'événement et te remercier de m'accueillir moi et mes caprices toutes les fois que je veux. Tu me permets d'assouvir mes fantasmes sans abîmer ma famille que j'aime aussi.

En même temps, tu trouveras con, mais même si tous les deux on ne fait jamais que baiser, super bien, te dire que je t'aime. Si je devais tout quitter, c'est avec toi que j'aimerais faire ma vie.

Des gros bisous mon Jerôme, je sens que, malgré la nuit, la forme me revient déjà. Je bande pour toi. Tiens-toi prêt, mets de la crème ! hihi

Max

 commentaires à  claudemodou@gmail.com    Un grand merci !     

  

Par 1001modou-recigayxstorigay - Publié dans : RECIT GAY FICTION
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