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Mercredi 12 décembre 3 12 /12 /Déc 14:04

Cette question de l'utilité rejoint celle de l'implantation de piercings dans la zone génitale. 

Votre avis  gay sera précieux surtout que les filles se sont exprimées.

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Pourquoi ils s'implantent des dominos dans le pénis 

S.R., A.V & T.F. France-Guyane 11.09.2012

Une bille tirée d'un manche de brosse à dents limé et poli. La main qui tient ce « bouglou » est celle d'un Saint-Laurentais qui les implante, à la demande (SR)
Rite de passage répandu chez les habitants du Maroni, surtout chez les Bushinengués, le bouglou est un morceau de domino ou de manche de brosse à dents. Limé et poli, il est introduit sous la peau de la verge. C'est censé procurer plus de plaisir aux femmes. Pourtant, la plupart d'entre elles trouvent l'appendice douloureux. En prison, il est proposé presque systématiquement aux nouveaux arrivants par leurs codétenus. Les techniques d'opération sont terrifiantes et douloureuses. Et ne sont pas sans risques. On trouve le bouglou, qui est d'origine asiatique, dans plusieurs pays et sous d'autres noms.
- INTERVIEW : En prison, « la peau est incisée avec le couvercle d'une boîte de sardines »
Beaucoup d'hommes profitent de leur passage en prison pour se faire poser un ou plusieurs dominos. Pourquoi ? Comment ? Le médecin référent du centre pénitentiaire, Vincent About, répond.
Comment se passe la pose du bouglou en prison ?
La prestation complète est proposée par des détenus : la fabrication du domino et la pose. Le service après-vente, ce sont nous les médecins qui l'assurons. Parfois, ils nous demandent des antiseptiques ou des antibiotiques. Il faut compter entre 5 et 15 euros le bouglou en prison. En moyenne c'est 10 euros. Ceux faits à partir de dominos sont plus chers parce que le matériau est plus noble, plus dur et plus résistant. Pour la fabrication et la pose, il faut débourser 50 euros. La plupart sont faits à base de brosse à dents car tout le monde en a une ici.
Ce sont les détenus qui le demandent ? Et à qui ?
En fait, ça leur est proposé presque systématiquement quand ils arrivent ici. Il y a des « docteurs dominos » . Les détenus ne paient pas qu'en euros. Ils peuvent aussi payer en nature. Un homme m'a raconté que ça lui avait coûté deux semaines de dessert. Parfois quand ils se connaissent, quand ils sont codétenus, c'est gratuit.
Ça ne doit pas être simple la pose en prison...
Ils chauffent de la bière sans alcool et trempent le bouglou dedans. Sinon certains me demandent de la Bétadine. Pour le reste, ils utilisent une boîte de sardines. La peau est incisée avec le couvercle, après chauffage.
Pourquoi se font-ils poser un ou des bouglous ?
Ils pensent que ça plaît aux femmes et apparemment les Guyaniennes en seraient friandes. Mais ça plaît surtout aux professionnelles (les prostituées). En tout cas, ça ne les gêne pas.
Mais au fond, quelle est la vraie raison ?
Il y a d'abord le profit pour les « docteurs bouglous » . Il n'y a pas beaucoup d'hommes qui en ont un avant l'incarcération. Il y a un effet d'entraînement, de mimétisme. Un détenu m'a expliqué qu'il en mettait un par mois parce que cela lui évitait de se masturber. Il y a d'autres explications plus sociologiques. Il y a un intérêt financier chez ceux qui les posent et beaucoup de naïveté chez ceux qui se les font poser.
Cette pratique n'est pas sans poser des problèmes de santé dans la prison et aussi dehors ?
Les détenus qui en ont un me disent que dehors, ils mettent deux préservatifs pour éviter que ça craque. Certains retirent leur domino eux-mêmes en prison, par le même moyen, c'est-à-dire avec le couvercle de boîte de sardines. La pose n'est pas sans conséquence. On observe des infections importantes. On a eu quelques cas qui ont nécessité des antibiotiques. J'ai vu l'extrémité d'un pénis qui avait triplé de volume. Certains ont des suppurations (apparition de pus). D'autres présentent des poches de pus mais la plaie a cicatrisé. Aucun cas toutefois n'a nécessité d'ablation. On a vu aussi des hémorragies car ils se coupent des artérioles. Un médecin s'est d'ailleurs pris du sang dans l'oeil lors des soins. Des détenus entourent le sexe avec un linge qui est rempli de sang. Ce ne sont que quelques cas mais de manière générale, on ne voit pas de complication. À la prison, on a décidé de ne plus les enlever. Je n'interviens que sur les bouglous surinfectés.
Pourquoi ne plus les retirer ?
Je considère que les détenus sont grands. S'ils mettent des bouglous, il doivent en assumer les conséquences. Si je commence, je vais passer mon temps à les retirer. Les médecins en prison ne sont pas là pour ça. Et puis, si on le fait, vous allez avoir des gars qui en auront quinze et qui n'en voudront plus que treize.
- CHIFFRES
La prison de Rémire-Montjoly compte 650 détenus. Le Dr About en a interrogé 450. 207 n'avaient aucun domino, 142 en avaient moins de 5, 64 en avaient entre 5 et 10, 25 en avaient entre 11 et 15 7 en avaient entre 16 et 20 et 5 en avaient plus de 20.
- REPÈRES
La pose ? Un « docteur bouglou » explique
« Il faut bien serrer le pénis pour que toutes les veines sortent afin de ne pas les couper. Ça, c'est quand il fait jour. La nuit, on place une lampe torche sous le pénis pour voir les veines. Tu tires la peau, tu traverses avec un couteau des deux côtés. Après, tu enfonces la boule (le bouglou ou domino, c'est pareil). Elle doit pouvoir circuler librement sous la peau. Il faut jouer avec. Tu peux la mettre aussi dans la chair et là ça fait plus mal que sous la peau. Certains en mettent sur le gland. Il faut prendre des antibiotiques. Moi, j'en ai trois. Ça fait mal. Tu ne peux plus déflorer une fille après la pose. Ça te ferait trop mal à toi et à elle. »
Plusieurs formes et matières
Les bouglous sont faits à partir de dominos ou de manches de brosses à dents. Tous les deux sont en matière plastique. Il faut les limer jusqu'à obtenir la forme recherchée. Le limage se fait en frottant contre un mur le domino ou la brosse. Certains parlent aussi des billes que l'on trouve dans les verseurs des bouteilles de whisky « Red Label » de Johnnie Walker.
Il existe plusieurs tailles et plusieurs formes de bouglous. À Saint-Laurent, on en décrit trois. La première forme est une bille plus ou moins ovoïde. La seconde est de la forme d'un cachet d'aspirine. Enfin, il existe une forme oblongue qui peut faire jusqu'à deux centimètres de long. Elle est appelée « fusée » ou « raquette » .
- L'implantation, la motivation, la douleur : quatre hommes racontent
Trois bouglous extraits de pénis en prison. L'un d'eux mesure tout de même deux centimètres de long. (SR)Trois bouglous extraits de pénis en prison. L'un d'eux mesure tout de même deux centimètres de long. (SR)
Ils sont jeunes. Ils sont Bushinengués. Ils vivent à Saint-Laurent.
Quatre jeunes hommes nous expliquent tout sur le domino.
 
Mike les pose pour les autres. Il a 30 ans. Il est Paramaka. Il a un domino depuis qu'il a 21 ans. Le reste, il nous l'explique en anglais. Pourquoi un implant ? « J'aime aller voir les prostituées. Je voulais ressentir ce que cela faisait. C'est différent. C'est plus fort, plus serré. » Les femmes apprécient ? « Oui! J'ai deux dominos. Ils sont au milieu du pénis. C'est cinq euros pour la pose. Moi je les pose pour les autres. » A-t-il beaucoup de clients ? « Oui! Deux clients par mois. De jeunes garçons viennent pour se faire poser un domino. Les filles leur disent qu'elles ne sentent rien sans ça, c'est pour cela qu'ils en veulent un. » Quel est le record ? « Je connais un homme qui en a quinze et un autre neuf. » C'est douloureux ? « C'est douloureux pendant l'opération. » Et pour les filles c'est douloureux parfois ? « Oui. » Avez-vous entendu parler d'infections ? « C'est arrivé à mon neveu. Il a 22 ans. A présent il va mieux. Quand tu as une infection, il faut aller à l'hôpital. »
Donsene, le plus jeune de la bande, ne regrette rien. Il a 17 ans. Il est Djuka. « J'ai un domino depuis six mois. Ce sont mes potes qui m'ont dit que ça plaisait bien aux filles, que ça les mettait à l'aise. C'est un ami qui a plus de 30 ans qui est spécialisé là-dedans. Il avait un scalpel. Tu peux faire un implant chez toi avec une brosse à dents. Moi j'ai une brosse à dents parce que c'est plus facile à lisser. » L'opération a-t-elle été douloureuse ? « Un peu mais ça ne s'est pas infecté. Avant l'opération, il a tout désinfecté avec de l'alcool : les mains, la brosse à dents, tout. J'ai eu mal pendant deux jours. Parfois ça peut être très douloureux. Surtout la nuit, il y avait le froid qui entrait dans la plaie. » Où se trouve votre domino ? « Il est excentré, un peu sur la droite. » C'est douloureux pour votre partenaire ? « Je n'en ai pas mis un gros, j'ai mis un petit pour que ça ne fasse pas mal, pour que ça les excite. » Vous regrettez ? « Non, je ne regrette pas. »
Jean-Luc regrette un peu d'en avoir mis un. Jean-Luc, 18 ans. Il est Djuka. « Le domino, il faut le couper en deux, le brosser sur le mur. On le fait devenir rond. On le passe au papier de sable. Ensuite on coupe le pénis avec une lame de rasoir. On met le domino à l'intérieur du pénis. Il faut que personne n'ait utilisé la lame. On en achète une pour soi. Si on ne fait pas comme ça, c'est l'infection. S'il y a une infection, tu ne peux pas dormir. Tu ne peux pas courir tellement tu as mal. Je me suis fait poser un domino il y a environ quatre mois. Tu peux acheter le domino ou le préparer tout seul. Si tu leur demandes, ils peuvent le préparer pour toi. Moi, c'est mon cousin qui l'a préparé. Mais si quelqu'un le met pour toi et ne le met pas bien, tu peux être hospitalisé. » Pourquoi ? « Parce que... au début je ne voulais pas le mettre. Mes amis m'ont tourné la tête. On m'a dit que c'était bien pour les femmes. Aujourd'hui je regrette parce que c'est anormal. Quand je l'ai mis ça m'a fait mal. Si on veut le retirer, on le retire de la même façon qu'il a été posé. On peut faire ça avec une brosse à dents. C'est le bas du manche qui est utilisé. » Quel endroit sur le pénis ? « Ça peut être n'importe où. J'ai un ami qui en a presque dix. »
Gilbert a eu envie mais ne l'a pas fait. Il a 21 ans. Il est Djuka. Vous avez un domino ? « Je n'en ai pas mais j'ai des amis qui en ont. Je n'en ai jamais eu. J'ai eu l'envie de le mettre mais c'est très douloureux. Il faut avoir le courage. » Tes amis te disaient d'en mettre un ? « Oui. J'ai regardé faire. C'était très douloureux. » Quelle était la motivation de vos amis ? « Ils étaient fiers de le mettre. Ils m'ont dit : « Quand tu le mets, tu as toujours du plaisir quand tu fais l'amour » . » Et les femmes en pensent quoi ? « Il y a des femmes qui recherchent des hommes avec des dominos et qui ne veulent pas d'homme sans domino. »
- L'AVIS DU SPÉCIALISTE : « Ça reste une pratique clandestine »
(SR)(SR)
Le professeur Pierre Couppié, spécialiste en dermatologie, exerce au sein du Centre hospitalier Andrée-Rosemon, à Cayenne. Il évoque les risques liés à l'insertion de bouglous sous la peau de la verge.
Dans un premier temps, le praticien insiste sur le fait que cette pratique reste « clandestine » . Il explique : « C'est une activité souterraine. Aucun chirurgien ne va proposer ce genre de chose. Ça se fait par le biais de connaissances, d'amis. C'est assez traditionnel en Asie du Sud-Est, et ça s'est étendu. Mais on retrouve plutôt cette pratique chez les populations carcérales. » Avec, dans la majorité des cas, une technique d'implantation des plus archaïques. « C'est à ce moment qu'existe le risque, affirme le dermatologue. Des germes peuvent être introduits au moment de l'implantation. Il existe un risque de nécrose (une mortification des cellules ou, dans ce cas précis, des tissus de la peau) en masse. La zone infectieuse peut se transformer en abcès, et le corps étranger va alors être expulsé. Mais s'il reste à l'intérieur, ça peut provoquer des abcès répétés. Le pire des cas est la nécrose en masse, qui va nécessiter une intervention chirurgicale. Mais ce n'est pas fréquent. » Le professeur Couppié évoque aussi le risque hémorragique lors de l'implantation. « Et pourquoi pas le tétanos si c'est mal fait » , ajoute-t-il. Il se veut toutefois rassurant : « Généralement, quand il y a une infection, elle finit par guérir. La nécrose est un risque, mais elle n'est pas fréquente. En un an, je n'ai vu qu'une infection. » Il constate toutefois que « ce phénomène est en augmentation depuis une vingtaine d'années » . Mais « surtout en milieu carcéral » .
- Le bouglou côté filles
Nous avons rencontré trois jeunes femmes, pas franchement fans de la pratique. Elles nous racontent leurs expériences avec le bouglou.
 
C'est un souvenir de vacances peu banal que Laëtitia (*) a ramené de son séjour en Guyane. De retour en Guadeloupe, la jeune femme raconte à ses amies son aventure avec un Guyanais. Jusque-là, rien d'extraordinaire. « Il avait un domino sur le sexe! » lâche-t-elle alors. Ah. « Au départ, je pensais que c'était un bouton. Je croyais qu'il avait une maladie quelconque. C'est là qu'il m'a expliqué que c'était un domino poli. Ça avait la forme d'une gélule et ça ne bougeait pas. C'était assez impressionnant. J'avais l'impression de toucher un gros bouton. » Après un premier contact intime, la jeune femme est restée perplexe. « Il m'a dit qu'il l'avait fait pour procurer plus de sensations aux filles et que son ex, qui était du Suriname, adorait ça. Mais moi, je n'ai pas grimpé aux rideaux. À vrai dire, je n'ai pas senti grand-chose. » Longtemps après l'histoire, Laëtitia repense au domino. « Je me demande ce qui se passe dans la tête d'un homme pour qu'il décide de se couper le sexe, sans précaution médicale, soit disant pour donner plus de plaisir aux femmes. Je me demande si ce n'était pas, pour lui, une façon de compenser un problème de taille. »
« ILS SONT CONS, LES MECS »
Tatiana (*), Rémiroise d'une vingtaine d'années, elle, en est sûre : si son copain porte un bouglou, ce n'est pas à cause de la taille de son pénis. « C'est un de ses amis qui lui a dit « je suis sûr que t'es pas cap'de faire ça! » L'ami en question en a six! Mon copain était jeune, il l'a fait. » Tatiana aurait préféré qu'il s'abstienne. « Quand je l'ai connu, il m'a expliqué tout cela. C'était la première fois que je rencontrais un homme avec ça. Je me suis posée plein de questions, je me demandais si ça ne se rapprochait pas de l'automutilation, parce que je sais qu'il y a des hommes qui utilisent les bords des boîtes de sardines pour s'entailler... Je ne sais pas comment il a fait, lui. Mais moi, je n'aime pas. Ça me fait super mal. Mais comme son domino se déplace, il le met en retrait au maximum pour m'épargner. Parce qu'il m'aime. »
Quant à le faire enlever... Dur pour celui qui l'a posé d'imaginer revivre la même souffrance. « Ils sont cons les mecs quand même, remarque Tatiana. Parce qu'aujourd'hui, y'a des préservatifs avec des trucs dessus s'ils veulent donner plus de sensations aux filles! Je ne suis pas fermée aux choses nouvelles, même si je ne suis pas une grande exploratrice, mais là, franchement, je me dis que ça ne sert à rien. »
Miminouche (*), 20 ans, est Djuka. Comme Tatiana, la Saint-Laurentaine n'a pas aimé l'expérience du bouglou. Son souvenir ? « C'était très douloureux. Mes copines m'ont dit la même chose. Personnellement, c'est pas un truc qui fait du bien. » La jeune femme a demandé à son partenaire de retirer son domino. « Il n'a pas accepté. Je ne suis plus avec lui. Moi, je crois que c'est plus les garçons qui aiment ça. Il y a une copine à moi qui a couché avec un mec avec un domino. Son ventre lui a fait mal pendant trois jours... » 

(*) Les prénoms ont été modifiés.
- REPÈRE - Originaire d'Asie
Le bouglou n'a rien d'une particularité guyanaise. En réalité, l'insertion de nodules péniens artificiels est une pratique venue d'Asie. Elle apparaît, sous des formes détournées, dans le Kama Sutra ou au 18e siècle, au Japon. Au XXe siècle, l'utilisation d'artifices destinés à satisfaire les désirs de la partenaire s'est principalement développée dans le Sud-Est asiatique.
Mais ces pratiques se sont progressivement étendues à d'autres régions du monde. Comme en Europe de l'Est. Notamment en Roumanie, en Ukraine ou en Russie. A chaque région sa dénomination. Le « peniles marble » à Fidji, le « chagan ball » en Corée, le « cao gio » au Vietnam, le « tancho'nodules » en Thaïlande, etc. Néanmoins, si le nom change, les matériaux utilisés restent les mêmes. Des billes métalliques aux fragments de plastique, de bois ou de verre.
Si l'insertion de nodules péniens s'est répandue, de manière toute relative, dans la population, les groupes sociaux qui ont recours à ces artifices sont généralement les mêmes. Il s'agit, dans la majorité des cas, de prisonniers, de militaires ou de marins. De fait, c'est par l'intermédiaire des ex-prisonniers échappés du Suriname que cette pratique aurait été introduite en Guyane, pendant la guerre civile, dans les années 80. Au-delà du simple attrait sexuel, le bouglou est également considéré comme un signe distinctif d'appartenance à un groupe, au même titre que les tatouages ou les amputations (le doigt coupé des Yakusa, au Japon). Dès lors, il ne s'agit plus uniquement d'un artifice sexuel, mais davantage d'un rite d'initiation. Dans l'univers carcéral, par exemple.



    Vos commentaires

    dydine — 15.09.2012  recommander (0)

    ancienne detenue

    lol c vrai le passage en prison change bien des choses,pour les hommes les dominos et les filles les percings aparement incontournable, concernant les percings jtrouve ça sans sens et pour les dominos ben mon mec on a 13, après s'être retiré 5 lol. Chacun sa vision des choses mais bon moi je m'y suis habitué mais c vrai qu'au départ ça fait très mal. Malheureusement (lui) ne compte plus les enlevé mais un conseil évité les hommes!!!! il y a milles et une façon de faire plaisir!


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    benj77 — 12.09.2012  recommander (0)

    La connerie humaine est insondable

    ici, un exemple révélateur. 

    Cette focalisation sur le pénis... Que dire aussi de ces jeunes ados qui se le trempent dans une bouille de giraumont, convaincus que ça le fera grossir (voire qui taillent un trou dans un giraumont pour se masturber dedans...). Au moins ils ne risquent pas de mutilation et très peu d'infection en s'amusant de la sorte^^ 

    Cela dit, je ne suis pas sûr qu’en prison cela ne soit pas dans certains cas un rite d'appartenance à un clan, un gang, et que certains n'ont pas trop le choix: il faut en être pour être protégé.


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    Relena — 12.09.2012   recommander (1)

     

    ça leur monte à la "tête" (vanne pourrie), les jeunes qui le faisaient de mon temps se glorifiaient en disant que ça ne faisait pas mal, après tout dépend du niveau de tolérance à la douleur...Je pense que c'est la même chose que de se mettre des implants sous la peau ou de se faire tatouer, les gens aiment le sm, c'est la connerie ou modernité, à voir selon les avis!


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    boukp — 12.09.2012  recommander (0)

     

    Bj
    Ca me donne des frissons que d'imaginer de se couper la t.... avec une boite de sardine.
    Et si on se mets de la brosse à dents dans la tête ça rends moins bête ?
    Cdlt


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    toupac973 — 11.09.2012  recommander (0)

    dominos

    pour les demoiselles qui veulent en voir ... j'ai quelques clichés a vous montrer .....

    Par 1001modou-recigayxstorigay - Publié dans : info-discute
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